Aux élections d'octobre 2011, à l'issue d'un scrutin électronique marqué par une forte abstention et de nombreux dysfonctionnements qui ont donné lieu à des recours devant le Conseil d’État, à 1600 voix près, il n’obtient pas de siège au Comité technique ministériel. Le SNALC conserve cependant un siège au CSE. À ce titre il prend notamment une part active à la concertation sur la Refondation de l'Ecole de la République lancée en Sorbonne le 5 juillet 2012 par le ministre Vincent Peillon.
Pour ce qui concerne la carrière des personnels, le SNALC poursuit fortement sa progression dans les commissions paritaires académiques (plus de 310 élus) parmi les agrégés, les certifiés, les professeurs d'EPS, les professeurs de lycée professionnel (PLP) ainsi que les professeurs d’enseignement général de collège (PEGC), démontrant ainsi son efficacité et son expérience dans la défense des intérêts des personnels qu’il représente.
Le SNALC conforte ainsi sa place de deuxième syndicat le plus représenté chez les professeurs du second degré. Il devance les autres organisations : SE-UNSA, SGEN-CFDT, FO, Sud, CGT… qui, pour certaines, ne peuvent prétendre siéger dans toutes les catégories.
Pour la première fois, le SNALC se présentait seul aux élections professionnelles : sans alliance, sans fédération.
Ne comptant que sur ses propres électeurs, le SNALC a non seulement conservé son siège au CSA ministériel (ex-CTM) mais a encore augmenté son nombre de voix malgré la baisse de la participation (39,8%, contre42,6% en 2018) pour atteindre un score électoral inédit.
…à l’image d’une progression constante
Le nombre des adhérents du SNALC a sans cesse augmenté, dépassant chaque année des records historiques.
C’est forts de la confiance accordée par nos adhérents et électeurs que nous continuerons, au nom du SNALC, à défendre les droits, les rémunérations et les conditions de travail de chacun, de l’école au supérieur, partout en France métropolitaine, en outre-mer et à l’étranger