Plus ancien syndicat de l’Éducation nationale, le SNALC syndique les professeurs des écoles.

Le SNALC défend les professeurs et œuvre pour la défense d’une école de qualité, sur tout le territoire. Indépendant et apolitique, le SNALC ne vit que des adhésions de ses adhérents. Attaché aux grands principes de la République et notamment à la laïcité, il refuse dans le même temps toute posture stérile.

Le SNALC n’a pas pour habitude de pratiquer la politique de la chaise vide dans les négociations.

Le SNALC, syndicat représentatif, siège au conseil supérieur de l’éducation et au comité technique ministériel, ainsi que dans de très nombreuses commissions paritaires où il représente les personnels.

Le SNALC construit ainsi une vision cohérente sur l’ensemble du parcours scolaire de la maternelle au supérieur et permet à ses adhérents (professeurs des écoles, certifiés, agrégés, personnels administratifs et de santé, psychologues, contractuels…) de recevoir des informations sur l’ensemble du système éducatif.

Le SNALC défend le respect de la liberté pédagogique, la dignité des professeurs, l’égalité sur tout le territoire, l’enseignement en tant que transmission des savoirs.

Le SNALC milite pour un enseignement ambitieux et exigeant pour tous les élèves et s’oppose à une école à plusieurs vitesses.

Le SNALC dénonce l’augmentation des tâches administratives chronophages. Il s’est opposé à la réforme des rythmes scolaires et à la réforme du PPCR.

Le SNALC milite pour une vraie revalorisation salariale, une refonte de la formation.

Le SNALC défend l’enseignement spécialisé et alerte sur les limites de l’inclusion généralisée.

Pour le SNALC, le professeur conçoit et élabore son enseignement. Aussi, on ne peut le transformer en un exécutant docile sans marge de manoeuvre et lui demander de prendre en charge de plus en plus de tâches annexes qui ne correspondent pas à son métier. La désaffection de plus en plus marquée pour les concours de recrutement doit nous alerter sur la dégradation très rapide du métier.